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Votre conseiller financier français aux Etats-Unis : Guillaume Decalf et « Oui Financial »

Vivre et investir aux Etats-Unis, c’est faire face à un nombre d’opportunités financières impressionnantes. Avoir un conseiller financier de confiance pour vous guider dans vos choix, ou pour les réaliser à votre place, c’est donc un atout non-négligeable. Et ça l’est encore plus pour les nouveaux expatriés qui plongent tête baissée dans un système souvent plus exotique que ce qu’ils imaginaient avant d’y avoir à faire ! C’est pour cela que Guillaume Decalf – lui même expatrié aux Etats-Unis, a créé son cabinet « Oui Financial » : afin de partager ses connaissances !

« Je ne fais que du conseil financier et pas de vente de produits financiers : je ne reçois pas de commissions. Je préfère le préciser car je ne mélange pas les genres ni les conflits d’intérêts ! », dit-il. Il peut ainsi vous conseiller, et/ou investir pour vous : ce sont les deux aspects dont nous allons discuter avec lui ! « Pour faire une analogie, on peut parler de la finance comme d’un jardin : soit je vous donne des conseils pour l’entretenir, soit je l’entretiens à votre place. »

« Les Français sont souvent trop peu informés sur leurs opportunités »

Originaire de Lille, Guillaume Decalf a d’abord fait du conseil d’entreprises en France, avant d’entamer une carrière dans la tech, notamment chez Amazon à San Francisco, avant de se lancer dans le conseil purement financier et de passer le diplôme américain qui va avec. « Cette partie conseil est très importante dans la communauté française, car les Français sont très souvent mal informés sur leurs opportunités et potentialités financières. En quelques séances d’une heure, on peut arriver à bâtir ensemble un édifice cohérent et optimisé pour les besoins de leur famille. Dans tous les cas, si vous ne l’avez jamais fait, au final vous vous rendrez vite compte qu’il vous faut avoir ce genre de discussions pour progresser. Et c’est valable pour tout le monde, que vous soyez salarié, rentier ou chef d’entreprise à succès : des conseils financiers de qualité vous feront toujours gagner de l’argent. »

Et quels sont les écueils que les Français qui arrivent méconnaissent le plus ? « Globalement, le degré de protection est très inférieur aux Etat-Unis par rapport à la France. Les indemnités de chômage, la protection santé, le financement des études pour les enfants, la famille, l’université… C’est assez notoire qu’il y a des différences ; par exemple l’éducation est chère, mais souvent les expats ignorent qu’il existe des moyens concrets pour la financer, et que c’est à leur portée. Je constate aussi que beaucoup commettent des erreurs dans leurs assurances, pas d’assurance responsabilité civile « umbrella » ou d’assurances décès « life insurance ». Ici, vous pouvez vous faire renvoyer de votre travail juste parce que vous êtes en arrêt maladie de longue durée. Ça peut valoir le coup d’être prévoyant ! Il y a aussi des conséquences pour ceux qui souhaitent retourner vivre en France, comme « l’exit tax » qui en surprend plus d’un. Beaucoup pensent aussi que les testaments, les trusts, sont faits uniquement pour les gens riches. C’est une erreur, et il faut qu’ils apprennent en quoi ces connaissances vont leur être utiles. Voilà : ce ne sont que quelques exemples, car la réalité est propre à chaque vie et à chaque famille. »

« Oui Financial » fait également de la gestion de patrimoine

« J’investis uniquement dans des paniers d’actions ; des fonds de placement qui sont liquides (pas de produits bloqués pendant plusieurs années et où l’argent n’est pas récupérable) : ils sont complètement transparents et les clients peuvent récupérer leur argent à tout moment. J’investis uniquement dans des fonds de placement « socialement responsables » ; qui filtrent les entreprises qui vendent des armes, du tabac, ou encore celles qui ont un impact négatif sur l’environnement. » A partir de combien peut-on investir ?  « Tout d’abord, il vous faudra calculer un « fonds d’urgence », une réserve d’argent, et tout ce qui est au-dessus de ce fonds doit être investi : sur les marchés financiers et/ou dans l’immobilier, d’ailleurs pas seulement aux Etats-Unis : il faut se diversifier, par exemple en France où j’ai un partenaire pour cela. Les Français aiment beaucoup l’immobilier. Ici, il y a vraiment une différence culturelle, et les investissements sont plutôt axés sur les marchés financiers. Quand on arrive, il faut donc s’adapter et un peu changer sa manière de voir. Il y a des cas où, par exemple, quelqu’un investit dans un bien immobilier qui lui rapporte, mais au bout d’un an il se rend compte qu’il paie autant d’impôts que ce qu’il a gagné. Il faut vraiment avoir un panorama large des possibilités. »

Et y a-t-il des changements importants à observer ces dernières années ?  » Oui, quand on fait une carrière à l’international, on double souvent le nombre changements ! Par exemple, avec le changement du système de retraite en France. Aux États-Unis, l’immobilier peut être plus volatile qu’en France : il faut sans cesse se tenir au courant. Et, comme dit l’adage… ne jamais mettre tous ses œufs dans un même panier ! »

Et la séance d’introduction étant gratuite : vous n’avez aucune raison de ne pas en profiter !

CONTACTS : 

guillaume@ouifinancial.com(415) 574-0662 

www.ouifinancial.com

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